[Galerie d'Esté] Viva Espana [page 21]

Hellfest : Le premier jour du festival

Une canicule exceptionnellement forte est annoncée avec 38° à l’ombre et j’ai appris par cœur les recommandations de la Croix rouge contre le coup de chaleur.



Après le petit déjeuner, nous nous mettons en route sous un soleil de plomb vers le parking officiel mais il y a plus de dix kilomètres de bouchon pour y accéder donc nous allons nous garer en ville. Nous grignotons une galette bretonne avant de prendre la navette de la ville vers le festival. La chaleur est étouffante et après seulement cinq cent mètres de marche, je suis au bord du coup de chaleur. Mais il reste à faire la queue à la cathédrale pour entrer sur le site des concerts et, comme une crétine, je n’ai pas pris ma carte de handicapée. Je me réfugie donc dans la salle fraiche réservée aux festivaliers handicapés, où il y a une ambiance sympa. Pendant ce temps, Zogrot va voir le concert de Shinedown, un groupe de hard rock américain, et se fait asperger par les pompiers à la lance à incendie.

Échantillon du groupe :



Ayant récupéré et m’étant intégralement aspergé d’eau, je peux enfin entrer sur le site vers 17h30. Je découvre la taille du festival avec ses sept scènes : les deux scènes principales (mainstage) l’une à côté de l’autre où passent en alternance les grands groupes connus, l’Altar et le Temple, deux scènes plus petites couvertes qui s’alternent également, The valley, une autre scène couverte, et enfin la Warzone, une scène un peu excentrée en forme d’amphithéâtre où passent les groupes les plus bourrins avec leur public chahuteur.
J’assiste au concert de Black mountain. Il s’agit d’un groupe de rock psychédélique canadien bien sympathique avec un chanteur et une chanteuse. J’arrive à me mettre tout prêt de la scène. J’apprécie déjà mes bouchons car le son est fort. Je sens l’odeur de grillade des joints qui tournent dans la salle.







Un échantillon !



L’ambiance dans le festival est sympathique. Tout le monde se parle. Les gens se brumisent les uns les autres. Nous enchainons avec le concert de The Offspring sur l’une des scènes principales. Le groupe de punk rock américain joue pas mal de ses tubes et nous sautillons joyeusement sous un soleil de plomb dans une foule enthousiaste. Je vois passer une licorne en slam (qui se fait porter par la foule). Le chanteur nous fait vocaliser façon Freddy Mercury mais en disant « fuck you », nous raconte un peu sa vie avec quelques blagues. Il est le premier d’une longue série à nous expliquer comme il est heureux de revenir sur scène après le covid.





Le concert filmé par Arte :



Pour nous rafraichir, nous faisons un tour au Hellfresh, un pavillon avec des brumisateurs géants et des douches pour se rafraichir. Il est évidemment pas mal fréquenté. Je me trempe de la tête aux pieds, histoire que ça tienne une heure. Puis, nous allons chercher à manger dans l’un des deux très vastes espaces dédiés du fest : le Hell’s Food court. C’est facilement une cinquantaine d’échoppes qui s’alignent, avec une offre de dingue : crêpes, pizzas, glaces, plats thai, falafels, homard, tourtes de patate douce, tartiflette, hotdogs, pâtes… Et en plus, il y a pas mal de choses végétariennes. Par contre, c’est pas donné, faut prévoir un budget. Nous nous posons avec un fish and chips (plat de saison) dans le petit bois dont l’entrée est gardée par un corbeau géant. Il y fait plus frais.



Tous les espaces sont décorés avec de grands sculptures en métal, c’est impressionnant. Par exemple, la statue du regretté Lemmy de Motorhead :



J’en profite pour regarder un peu les gens. Il y a à peu près 80% d’hommes, assez jeunes mais on peut aussi voir un bon nombre de métalleux plus âgés. Pas mal portent des costumes rigolos, chapeaux excentriques, kigurumi (ces espèces de grenouillères à tête d’animaux), cosplay… Quasiment tout le monde est tatoué et piercé. Je fais la connaissance de ces sympathiques mais terrifiant démons :



A suivre...

Visiblement la chaleur était partout, la météo, les gens et les spectacles !
Courageux à vous de sortir de ce temps là !

En effet, tout le monde était chaud ! Tu verras que c'est pas le seul selfie rigolo que j'ai fait pendant le séjour !
On serait prêts à faire beaucoup de choses pour un bon concert !

Génial !
Le Hellfest comme si on y était !
Merci pour le reportage

Illyana et le cucul qui monte !



Les autres chats font ça aussi ?

Je confirme, tous les chats font ça.
En fait ils creusent le dos, du coup c'est le cul qui monte.
Raoul faisait ça.

Et ça doit être aussi un truc éminemment  sexuel parce que les chattes en chaleur se tiennent comme ça.
Votre relation s'améliore indéniablement

Je pensais voir du Hellfest mais pour le coup c'est tout aussi rock and roll chez toi

Mon chat aussi faisait ça !
Trop chou la minette !

Ah je me souviens plus pour Raoul.
Je te mets un bout de Hellfest, c'est bien parce que c'est toi !

Ah ça me rassure Lafleur !

La fin de la journée 1 du Hellfest :

Une jeune femme tout droit sortie de Mad Max :



Nous attrapons au passage les deux derniers morceaux de Dropkick murphys, un groupe de punk celtique américain dont le chanteur demande à son public de se faire des câlins.



Le film de Arte :



Sur le soir, de nombreux flambeaux sont allumés sur les bâtiments, rendant le site encore plus pittoresque. Des lance-flammes ponctuent les concerts et une sorte de planète steampunk de métal s’illumine.



Nous allons au concert de Five finger death punch, groupe américain de groove métal, un concert très énergique pendant lequel les déclarations d’amour du chanteur à son public contrastent de façon amusante avec le style violent de sa musique (et les paroles dont il ne faut pas trop creuser le sens).



La scène est décorée d’un gigantesque serpent en forme de huit. Le chanteur est vêtu de moches survêtements fluos tandis que l’un des guitaristes arbore d’impressionnantes dreads de barbe. Nous reprenons en cœur « Burn motherfucker burn ». Il offre des cadeaux à plusieurs enfants dans le public, un masque à une gamine ravie puis une batte à un gamin. Nous sommes suffisamment prêts de la scène pour sentir la chaleur des lance-flammes.



Un circle pit (danse métal où les gens tournent en cercle) s’organise sur le devant de la fosse. En partant, le chanteur distribue ses bijoux dans la foule.

Un échantillon :



Le mur d'eau pour rafraichir les foules :



La déco psychédélique avec l'horloge géante :



La cathédrale illuminée :



Nous :



L'un des vitraux de la cathédrale, représentant les grands noms du rock :



Nous repartons vers minuit avec les navettes de la ville, bien pratiques mais assez chères et pas assez nombreuses.

Merci bien chérie cheffe

J'aime beaucoup Dropkick Murphys, j'ai découvert ça par hasard dans une compile de musique traditionnelle irlandaise.
C'est une sorte de country rock avec cornemuse, accordéon et d'autres instruments traditionnels.
J'aime bien et en plus c'est des gentils, ils sont marrants comme tout et le chanteur a l'air d'une bonne pâte.
J'ai isolé ici le morceau avec les câlins :



Et ici le dernier morceau que j'adore ! C'est dansant et c'est typiquement le truc qu'on pourrait utiliser au club de danse écossaise. Ça me met des fourmis dans les jambes.



Wahouuu...la nuit ça devait être impressionnant toutes ces lumières !
Morte de rire, les vitraux rock !

Ce genre de musique n'est pas trop mon truc, mais les "vagues" de "câlins" font du bien à voir

Si seulement elles existaient dans la vie de tous les jours ..............
" Si tous les gars du monde se donnaient la main .........."

Ah ouais, vu de la scène, c'est hyper spectaculaire !
Oui, c'est chouette comme groupe.

Lafleur, le festival était un lieu avec une ambiance vraiment amicale. J'ai parlé à plein de gens, des inconnus m'ont brumisée quand j'avais chaud, j'ai sympathisé avec d'autres handicapés... Un peu comme au Ldoll.
Comme je dis souvent, le métal et les métalleux trimballent une image agressive à cause de notre look et du son de la musique mais c'est une population globalement sympa dont la rébellion (qui s’exprime de manière symbolique et codifiée par des danses un peu extrêmes et une imagerie qui fait peur) est en fait dirigée vers le système ultra normatif et la difficulté de la vie en général. (purée, ce que je cause bien)

Le deuxième jour du festival :

On se lève assez tard et on déjeune d’un gâteau maison de la logeuse. La chaleur est encore plus étouffante que la veille. On passe manger une salade au supermarché où ils ont la clim’ et on fait quelques courses puis direction le camping du cousin, fort agréable avec plein d’arbres et une piscine. Je fais un plouf toute habillée dans la piscine pour résister à la chaleur de la voiture et direction le fest ! Cette fois-ci, j’ai mon coupe-file et je me mouille sans arrêt. On mange aussi des glaces. Nous visitons un peu le site.



Le Hellfresh, où on peut se faire doucher et brumiser

On se met à l’ombre dans le bois et on discute avec un type qui porte un chapeau tricoté de Bert le muppet, et son pote habillé en sanglier. Un peu partout, des gens font la sieste dans le boucan des différents concerts tout proches.
Il n’y a pas tant de gens saouls que je l’aurais pensé. Il faut dire que la canicule incite les gens à boire… de l’eau ! On en croise quand même quelques uns écroulés dans des coins, dont on vérifie s’ils vont bien.
En allant remplir ma bouteille d’eau, je me fais asperger par une lance à incendie surprise. Le jet est hyper puissant, même à distance.



Un lolita !

Le soir, on arrive à retrouver le cousin de Zogrot pour manger des nouilles fades tous ensemble. Ce n’est pas évident de communiquer dans le festival car il n’y a quasiment pas de réseau.

Nous allons au concert de Steel Panther, un groupe américain de glam métal avec collants pailletés et choucroutes blondes, qui chante des chansons résolument paillardes à l’humour gras. Le chanteur connaît plein de mots en français et c’est que des gros mots !



Il invite sur scène une fille du public ravie et lui improvise une ode très osée avant de faire monter autant de filles que la scène peut en contenir pour leur final.



Le concert : attention !!! seins nus (plein)



Nous enchainons avec Megadeth, un groupe de thrash metal américain. Zogrot danse et sautille. Le groupe interprète la chanson du film Last action hero. Sur scène, un écran géant diffuse des vidéos de leur peu esthétique mascotte, Vic. Tout le public chante sur leur hymne « A tout le monde » dont le refrain est en français.





Un échantillon :



Nous avons juste le temps de prendre une bière fraiche avant d’enchainer. Nous passons d’une scène à l’autre et un type bien éméché nous demande comme péage pour passer de toucher les fesses nues de son pote. Bon ben ok.





Des licornes sympas, The best unicorn company, qui m'ont donné leur carte de visite !

C’est l’heure de Deep purple, le groupe de rock anglais auteur du légendaire « Smoke on the water ». Ils le jouent d’ailleurs devant une foule enthousiaste. A cette heure-là, le temps s’est couvert et la température baisse un peu, ouf. Nous sommes assez loin. Ça fait plaisir d’entendre des synthés car j’aime bien ça. Ils nous font un medley de reprises d’époque.
Quelques photos moches :









Un échantillon :



Ensuite, c’est le concert tant attendu de Ghost, un groupe suédois de heavy metal au son vintage et à l’esthétique haute en couleur. Nous sommes mieux placés, juste derrière un barbu gentil qui empêche les grands resquilleurs de se mettre devant les petits qui essaient de voir quelque chose. Ghost joue un bon nombre de ses classiques. La scène a été décorée de minarets. Les musiciens, surnommé les goules, sont comme toujours masqués. Le leader et chanteur interprète son personnage de pape sataniste, Papa Emeritus, avec des costumes extravagant couverts de paillettes. L’ancien pape, Nihil, est sorti de son cercueil pour un amusant solo de saxophone puis, c’est un chœur de nonnes qui s’invite sur scène. Pas de chance, le chanteur s’est cassé la voix et il n’y aura pas de rappel.
Encore des photos moches :





Un échantillon : attention ! les catholiques peuvent être choqués par les paroles





Ensuite, c’est le retour en navette, après 45min d’attente sous une pluie fine. Nous croisons un type habillé en table de bar qui nous demande « C’est par où ?». « C’est pas par là » lui dis-je et il fait demi-tour !

Morte de rire Steel Panthers et "the big nichons"

Megadeth, j'adore !!!!!!!
Last action hero, j'adore aussi !!!!!
Angry again !!!!
J'ai plein de Megadeth sur la liste de musiques que j'écoute en faisant du vélo d'appartement  
Je connais chaque morceau à la note près.

Aâârrglllll....Deep Purple.....les premières notes de Smoke on the water me mettent en transe
C'est aussi sur ma liste, évidemment !
Chaque année il y a, un peu partout,  des rassemblements de musiciens accros à ce titre.
En voici un exemple :



Ghost, je connais moins , j'aime beaucoup le "décorum" : costumes, maquillages, scène.
Ça m'a l'air d'une belle bande de malades  

Hé ben ! sacrée journée !
De quoi rêver en musique !

PS: tes photos ne sont pas moches du tout

Ah oui, j'ai déjà vu les gens qui jouent tous ensemble.

Mes photos sont floues et, comme j'en avais marre de ne rien voir dessus, j'ai essayé de photographier carrément l'écran géant mais ça rend pas grand chose.

Et pour Ghost, ça ne rend pas justice au merveilleux Papa Emeritus avec sa tenue tellement pailletée qu'on aurait cru une boule à facettes.

Ghost, c'est un groupe que j'aime beaucoup et que j'ai découvert il y seulement quelques années. J'adore le son vintage années 1970 et la théâtralité hyper décalée des concerts. Les riffs sont super, bien lourds comme j'aime. C'est un suédois qui fait tout quasiment tout seul. Il compose tous les morceaux, il enregistre seul les instruments et joue le personnage du pape sataniste sur scène. Les autres ne sont que des musiciens engagés pour les concerts.
Il a créé toute une mythologie autour de ses personnages. Les musiciens sont "les goules", toujours masquées, anonymes, désignées par des lettres grecques. Lui, c'est Papa Emeritus avec un numéro car il tue régulièrement le personnage sur scène pour passer à son successeur. On en est à Emeritus IV, mon préféré jusqu'à maintenant. Ils ont chacun un look différent et une "personnalité" différente. Le IV est plus extraverti, il raconte des blagues sur scène, fait des ptites danses sexy...
Sur Youtube, y a plein de vidéos marrantes sur la vie des personnages en tournée, des fausses interviews... Tous les papes sont présentés comme des fainéants, des abrutis, des types débauchés... C'est au énième degrés.
Malgré ça, y a quand même plein de ricains qui leur donnent lachasse parce qu'ils pensent que ce sont de vrais satanistes à cause des paroles
Si t'aimes bien, tu peux écouter "Year zero", "Square hammer" ou "He is", ma préférée.

Un peu de spam chachatte ?
"...à présent, parlez-moi un peu de votre mère..."





Ça fait déjà un an qu'elle est là !

Trop belle !
J'ai déjà envie de dessiner la première photo !
Joyeux anniversaire ma belle

Adorable cette petite chachatte !

Merci les filles !!

J'ai découvert il y a quelques mois la peinture de François Houtin, un artiste français qui était jardinier avant de devenir graveur puis peintre.
Il peint des jardins imaginaires et aussi des formes abstraites faites de motifs végétaux. Il travaille à l'encre de chine et c'est fantastiquement détaillé. Deux exemples de son style (n'hésitez pas à zoomer) :

C'est magnifique!
Ces artistes ne vivent pas dans le même univers que nous...

De l'art et du tourisme dans le vieux quartier de Lille :
Vue sur la Vieille Bourse et le Beffroy (celui qui chante le Ptit Quinquin) depuis la Grand place



La plus petite maison de Lille :



J'ai visité l'exposition Le serpent cosmique, à l'hospice Comtesse, sur le thème du chamanisme :



C'est un lieu grand et plaisant et l'exposition était chouette. Quelques photos pour vous montrer.
J'ai trouvé ce montage de Roman Cieslewicz amusant :



Cette série de pièces de Gregorio Barrio est recouverte de perles de rocaille :



Philippe Haas fait en volume les peintures d'Arcimboldo :



J'ai joué avec une oeuvre intreactive qui s'appelle Haunted telegraph (le télégraphe hanté) de Véronique Béland :



C'est une machine un peu steampunk. On pose ses mains sur une plaque de métal et on se concentre pour percevoir l'invisible. Des pièces se mettent à tourner, à faire des flash de lumière. Quand c'est fini, une lampe s'allume, l'intelligence artificielle qui est dans la machine compute le message qu'elle a reçu pour nous de l'invisible et le retranscrit sur le rouleau. C'est fun et poétique.
Mon message :



Et enfin, une oeuvre de Léa Barbazanges faite avec des plaques de mica. Quand on bouge un peu, les couleurs changent :

Belle expo.
Que des jolies choses, rien à jeter !
Lille est une belle ville et il s'y passe toujours quelque chose.

J'adore les collages de perles de rocailles, je recouvrirais bien un mini livre ou un objet quelconque avec

Le télégraphe hanté c'est marrant, cette machine sait que tu aimes le karaoké ou quoi ?
Je me demande si des fois elle écrit haine ou vengeance ou désespoir ou un truc dans le genre...

Les plaques de mica c'est aussi beau que les vitraux !

Oui c'est marrant le télégraphe hanté. Il y avait des gens qui le regardaient craintivement et qui ne voulaient pas l'essayer.
En effet, je n'ai jamais autant chanté et dansé que cette année !
J'ai lu les deux messages précédant le mien. Le premier c'était un truc genre "the sky is white", le second quelque chose de très triste et déprimant, je ne sais plus quoi.

L'artiste Houtin : Trop beau !!

Lille est vraiment une belle ville et l'expo extra !

Oui c'est une chouette ville. Le seul défaut c'est le paysage autour qui est un des plus moches et déboisés de France. Mais sinon la ville est chouette, avec beaucoup de choses à faire, manger...

Et si on allait passer la journée à Bruxelles ?
La première fois que j'y étais allée, j'avais vu l'Atomium, le muséum d'histoire naturelle et le manneken-pis. Super classique, quoi. Ce coup-ci, j'ai fait dans le bizarre.
J'ai commencé tranquille avec la grand place :



Heureux hasard, il y avait un défilé !



Ensuite, je suis allée voir la Jeanneke Pis, dont j'avais découvert l'existence quelques semaines plus tôt. Elle est bien mignonne et beaucoup moins fréquentée. Elle a été sculptée en 1985. Vive la parité !



Direction le musée de la BD. Ils ont une reproduction du lit de Little Nemo :



Pas mal de planches originales mais surtout de très vieilles BD belges que je ne connaissais pas. J'ai juste trouvé cette belle planche de Valérian et Laureline, une de mes BD préférées :





Ensuite, on est allés manger des gaufres chez La zigounette :



Mais moi j'ai pris une foufoune !



Et on a arrosé ça avec un cocktail bu au bar Le cercueil, où les tables sont de vrais cercueils :



Entre, deux, évidemment, on a mangé des frites, bu des bières... Et on a terminé en apothéose par la statue de Jean-Claude Vandamme !